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Nantes. enabl s’attaque au « no code »

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« La montée en puissance du « no code », c’est un peu la deuxième grande vague de la transformation numérique. La première, tant médiatisée, avait majoritairement profité aux grandes entreprises. Le no code permet désormais aux TPME un accès plus aisé à cette nécessaire transformation », expliquent Stéphane Menet (Digital Korner) et Alexandre Renoult (Yul Run, ex – One X Fidlid). Les deux entrepreneurs nantais ont lancé enabl (https://enabl.fr) pour mettre en avant cette nouvelle façon de « faire » du web et des outils numériques. Mais, concrètement, c’est quoi le no-code ? : « Le no code, c’est le Lego du numérique. C’est la capacité d’utiliser des outils déjà codés pour construire d’autres outils : sites web, outils de gestion, automatisation… En no code, 1+1 = 3, voire 4 ! Et ce n’est pas la mort des développeurs web car nous avons justement besoin d’eux pour interconnecter les outils. C’est justement la partie qui les intéresse le plus ».

Une méthodologie qui veut aussi redonner du sens au métier : « En réalité, nous voulons remettre le numérique au service des projets, et non qu’il soit un frein. Les process sont devenus trop lourds pour les TPME. Le no code nous permet d’aller 4 fois plus vite. On évite des tâches répétitives réduisant ainsi les coûts de production d’une appli mobile, d’un site ou d’une appli métier ». Il existe déjà des centaines d’outils plateformes qui composent l’arsenal no code : les américaines Airtable et Zapier, mais aussi les françaises Ksaar et Timetonic, entre autres. « Une pratique qui a tout pour vraiment démocratiser le numérique » , selon Stéphane Menet et Alexandre Renoult : « Avec la création d’enabl, nous souhaitons accélérer les TPME, les rendre plus productives et plus rentables. Nous sommes la PME Nation ! »

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